La lettre, adressée à Sœur Clotilde Javouhey à Cluny, est terminée par soeur Marie Thérèse Griffaut, qui donne les détails des dernières entrevues avec quelques Évêques. Le conflit avec Monseigneur d’ Héricourt avait atteint son paroxysme quelques mois plus tôt,
Sœur Marie Thérèse écrit : " Ma chère mère me dit de remplir le papier et de vous dire tout ce que je sais ? D’abord, je commence par vous dire que ma chère mère n’est plus triste, la confiance renaît en elle. Monsieur le supérieur est venu hier à son retour de Beauvais, il a dit que Monseigneur de Beauvais était content, qu’il aurait désiré nous être utile car il nous avait vues dans une triste position : mais qu’il remerciait le bon Dieu que les affaires soient terminées avec Monseigneur d’Autun..."
Elle termine : "Je ne sais pas si ma chère mère ne sera pas fâchée que je sois entrée dans de si grands détails." Merci à elle pour ces "indiscrétions" qui nous permettent de relire l’histoire aujourd’hui !