Anne Marie a toujours eu une grande confiance en Saint Joseph et, dans sa correspondance, elle recommande souvent de le prier.
« Adieu ma bien chère fille, je vous remets entre les mains et sous la protection de notre bon père Saint Joseph, et je le prie instamment de vous assister dans tous vos besoins. »
L.105,16 de Paris, 25.07.1825 à Mère Rosalie Javouhey à Bourbon
« Ma bien chère fille, soyez toujours courageuse et fervente dans le noble emploi qui vous est confié. Votre charge est bien pesante mais Dieu est là et notre bon père Saint Joseph pour vous aider. Plus vous sentez votre faiblesse, plus vous devenez forte en vous cramponnant à de tels appuis. »
L. 495,2 de Cayenne, avril 1842 à Mère Théophile Montet à Rouen.
« Priez, priez beaucoup. Mettez tout entre les mains de Marie et de Joseph ; et puis dormez en paix ». L. 501,6 de Cayenne, 10.06.1842 à Soeur Bathilde Laparre à Paris
« À tout moment je me trouve si embarrassée que je ne sais comment me tirer du mauvais pas ; j’ai recours à mon bon père Saint Joseph, avec une ferme confiance, et puis vient une bonne pensée que j’avais oubliée, une porte s’ouvre, me voilà sauvée. »
L. 1054,1 de Paris, 29.10.1850 à Mère Rosalie Javouhey à Cluny
« Nous avons 5000 francs de Bourbon. Je n’ose pas vous offrir de les partager, nous avons tant à payer...cependant j’ai la ferme confiance que saint Joseph, notre banquier, ne nous laissera pas faire faillite ; cela serait joli ! ».
L. 1122,2 de Paris, 20.03.1851 à Mère Rosalie Javouhey à Cluny
« Je compte sur Saint Joseph, sans lui nous ne pouvons rien faire ».
L.1123, de Paris, mars 1851 à Soeur Bernard Vincent à Senlis (école)