Répondre à l’appel

« Ma grâce te suffit ! »

Dimanche 28 août, sœur Marie Anatolie RANIVOARISOA a prononcé publiquement, pour toujours, les vœux d’obéissance, de chasteté et de pauvreté selon les constitutions et dans la congrégation des sœurs de st Joseph de Cluny !

Pour toujours !

Un tel engagement peut paraitre fou … Mais, appuyé sur la promesse du Seigneur : « ma grâce te suffit », c’est en toute conscience et au terme de plusieurs années de formation, qu’elle a pu faire un tel choix de vie en réponse à l’appel du Seigneur, à sa suite à l‘exemple d’Anne-Marie Javouhey !

Et elle n’était pas seule !

Elles étaient 13 au total, en ce dimanche, à s’engager définitivement à la suite du Christ, dans la Congrégation, en présence de leur famille, amis et nombreuses sœurs de leur province d’origine : Madagascar !

Ainsi ce fut une très grande fête, préparée avec beaucoup de cœur, où chants, danses et moments de recueillement intenses alternaient !

Province de Madagascar

La province de Madagascar (150 sœurs) est extrêmement vivante et dynamique, avec de nombreuses vocations originaires de ce pays jeune et courageux. C’est aussi une province ayant un grand sens missionnaire qui envoie des sœurs un peu partout dans le monde dont la France !

Pendant 4 ans, sœur Anatolie a fait partie de l’équipe de soignantes de notre maison de sœurs âgées à Thiais en région parisienne tout en intervenant comme catéchiste à l’école et au collège Sainte Thérèse de Maisons Alfort. Cette rentrée scolaire, elle rejoint la communauté de Quincampoix (Seine Maritime) au service de l’annonce de Jésus-Christ à tous et en particulier des enfants !

sr Marie-Pierre Lallemant

Dieu est là ! Voudras tu l’accueillir ? Laisse ta joie jaillir, il n’attend plus que toi, il se tient près de toi !

La joie de Sœur Marie-Bruno a été contagieuse en ce beau jour du samedi 04 octobre !

Rassemblés autour d’elle, sa famille, sa maman, son frère et sa sœur, ses neveux et nièces, oncle et tante, cousines... mais aussi ses amis, tous venus de France métropolitaine, de Guadeloupe et de Guyane, les sœurs de Saint Joseph de Cluny, Sœur Marie Yvonne Kerfourn, Provinciale de France-Suisse, et les sœurs venues des communautés de Bourgogne, de Paris et sa région, de l’Oise, de Bretagne, de Normandie... tous, nous étions unis autour de Sr Marie-Bruno qui prononçait ses premiers vœux d’Obéissance, de Chasteté et de Pauvreté, en Eglise, dans la Congrégation.

Eglise de Chamblanc

C’est le Père Marcel, Curé de l’Ensemble Paroissial Anne Marie Javouhey, qui nous accueille dans cette Eglise de Chamblanc.
C’est dans cette Eglise qu’Anne Marie Javouhey a fait sa première communion, à l’âge de dix ans. Elle y est encore bien présente aujourd’hui.
C’est la première fois qu’une profession religieuse à lieu dans cette Eglise, la Bienheureuse Anne Marie est certainement en train de se réjouir avec nous !
Plusieurs amis prêtres ont tenu à s’associer à la prière et à la joie de Sr Marie-Bruno ; la vie religieuse se vit en Eglise.

Appelés par le Christ aux chemins de l’Alliance

Sœur Marie-Bruno est arrivée au Noviciat de Chamblanc il y a deux années.
Sœur Chantal, responsable du Noviciat, s’adresse à elle en ce début de célébration :
"Tu venais de passer plusieurs mois à Cayenne et en Guadeloupe pour tes premières expériences en communauté. Tu cherchais depuis si longtemps QUELQU’UN, écrit en majuscules... quelqu’un qui t’aiderait à donner un sens à ta vie. Et tu en as fait des kilomètres, jusqu’en Afrique (au Congo), et au Brésil, comme laïque missionnaire, pour découvrir ce chemin qui te conduit à aujourd’hui. Marie-Bruno, ce plus dans ta vie ? C’est le don de ta vie en ce jour !"

Une célébration joyeuse et émouvante

"Me voici Seigneur, parce que tu m’as appelée." Cet appel du Seigneur et la réponse de Sœur Marie Bruno ont été célébrés dans une prière joyeuse et recueillie.
Elle a prononcé ses premiers vœux, première grande étape de sa vie religieuse.
C’est Sœur Véronique, responsable de la Province des Antilles-Guyane qui a reçu son engagement, au nom de la Congrégation.

La procession des offrandes de l’Eucharistie était tout en symboles ;
. une guitare, rappelant l’animation pastorale en particulier auprès des jeunes
. des travaux manuels réalisés par les enfants, symbolisant le travail réalisé auprès des enfants de la paroisse au court de sa présence à Chamblanc
. des légumes du village de Chamblanc ; nombre de paroissiens et d’amis de la communauté étaient présents,
. une gerbe de blé de Chamblanc, accompagnant le Pain Eucharistique

A la fin de la Célébration, Sr Véronique a envoyé Sœur Marie-Bruno en mission en Guyane, à Cayenne, où elle sera au service des jeunes, en pastorale.

Le verre de l’amitié et le repas qui ont suivi furent l’occasion d’encourager et de remercier Sœur Marie Bruno pour son cheminement et le bout de route effectué dans le village, durant ces deux années. Occasion aussi de partager sa joie. Nous lui souhaitons beaucoup de bonheur, au service du Christ et de ses frères.

En ce lundi 11 novembre 2013, sœur Blandine-Marie, entourée de ses sœurs en Congrégation, de ses parents et de ses proches, prononçait ses vœux perpétuels en l’église Notre Dame de Montceau-les-Mines. (Saône et Loire)

C’est tout le doyenné qui est venu prier et se joindre à elle dans une belle célébration présidée par Mgr Benoit Rivière. La participation de tous, quel que soit l’âge : enfants du caté, jeunes des collèges, adultes jeunes ou moins jeunes… était forte.

Quand on interroge quelques paroissiens sur ce qui leur a semblé le plus touchant, ils font mémoire d’une part de la litanie des saints. Celle-ci les a marqués par le rythme africain et toute l’énergie de l’animatrice, de la chorale et des instruments, le tout repris par la foule, à l’unisson.

D’autre part, l’action de grâce dansée par sr Blandine-Marie devant l’autel, a ému, et invité encore à la prière. Son engagement dans la vie religieuse est définitif.

Merci à tous ceux et toutes celles qui se sont joints à elle par leur prière, leur présence, leurs gestes attentionnés. Jésus est son ami pour toujours et c’est une joie partagée.

Samedi 26 Octobre 2013, à Chamblanc (lieu source) en Côte d’Or, soeur Agnès-Marie s’est engagée dans la Congrégation des sœurs de Saint-Joseph de Cluny.

Temps d’émotion et de joie à Chamblanc le samedi 26 octobre pour le premier engagement de Sœur Agnès-Marie, originaire de Gourin en Bretagne.
C’est la première fois qu’une telle cérémonie se déroule dans l’Eglise de Seurre.

Sœur Agnès- Marie, après deux années de formation au noviciat de Chamblanc
(communauté de la maison paternelle d’Anne-Marie Javouhey), a choisi de s’engager dans la congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de Cluny.

A la fin de la première année, Sœur Agnès-Marie est partie en Haïti pour un stage de huit mois. Cette période lui a permis de vivre parmi les pauvres en ce temps de reconstruction suite au séisme destructeur.

Répondant à l’appel du Seigneur, Sœur Agnès-Marie a dit "Me voici "
Elle vit cet appel en communauté.

Son engagement au service du Seigneur dans la prière et le service de ses frères et sœurs humains a été reçu par le Père Chadeuf, représentant Mgr Minnerah et Sœur Marie-Yvonne Kerfourn, Supérieure provinciale pour la France et la Suisse.

La cérémonie s’est terminée par l’envoi en mission. Sœur Agnès- Marie est envoyée dans la communauté de Maisons-Alfort en région parisienne.

L’entrée au Noviciat est un appel à tout quitter, pour une réponse d’amour au Christ qui invite à sa suite…
Une réponse libre au service de l’Eglise et des hommes…
Une réponse donnée dans la congrégation où toute notre vie veut témoigner de l’Evangile.

Le Noviciat est un chemin pour entrer dans la relation d’alliance avec Dieu

Le Noviciat de la Province France-Suisse des sœurs de Saint-Joseph de Cluny se trouve dans la maison paternelle d’Anne-Marie Javouhey. Il est intégré à une communauté active de soeurs.

Le Noviciat se déroule sur deux années :

 1ère année :

• vérifier son projet (accompagnement, discernement) ,
• se former à la prière, à la relecture,
• découvrir la spiritualité de la fondatrice et de la congrégation,
• être formée à la vie religieuse (vœux, vie communautaire, mission),
• participer à des sessions et des rencontres avec des novices d’autres congrégations et de tous pays,
• s"engager dans un service auprès des autres.

 2ème année :

• stage d’insertion dans une communauté pour plusieurs mois en France ou dans un autre pays.
• Participation à des sessions et des rencontres de 2ème année avec des novices d’autres congrégations et de tous pays.
• Préparation à l’engagement temporaire.

A l’issue de ces deux années, c’est le temps de l’engagement dans la vie religieuse.

« Par le Baptême, nous sommes incorporées à l’Eglise, Peuple de Dieu en marche. L’amour gratuit du Père nous appelant à être à lui sans partage, nous lui donnons, dans le Christ, sous la motion de l’Esprit, une réponse libre et personnelle. »
Règles de vie, article 12

Formation initiale dans la congrégation des sœurs Saint Joseph de Cluny

Dans le cheminement de leur existence, des femmes, des hommes, peuvent se sentir appelés à consacrer leur vie au Seigneur, dans un institut religieux.

Parmi eux, certaines femmes, jeunes ou moins jeunes, après un discernement et un accompagnement (en lien avec le service des vocations de leur diocèse, et/ou en lien avec l’une ou l’autre sœur de la Congrégation), demandent leur admission et commencent leur formation initiale dans notre institut.

Celle-ci se fait étape par étape ;

 La probation préalable, ou postulat (entre 6 mois et deux ans)
 Le noviciat (deux ans)
 Le juniorat, après avoir prononcé les premiers vœux (entre 6 et 9 ans)
 Les vœux perpétuels, prononcés au terme du juniorat

La première de ces étapes est la probation préalable

Elle a pour but de faire vraiment prendre conscience de ce qu’est l’appel de Dieu et permet à chacune d’entrevoir les richesses et les exigences de la vie religieuse telle qu’elle est vécue dans la Congrégation.
Elle permet de se préparer à donner au Seigneur une réponse libre et courageuse.

Le postulat se fait toujours en lien avec une communauté Saint Joseph de Cluny ; l’aspirante est accompagnée par la sœur désignée pour cela par la supérieure provinciale.

Contact :
Sr Chantal Bescond
25 bis rue Anne Marie Javouhey
21250 CHAMBLANC
Mail : sjc.chamblanc chez wanadoo.fr

"Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et institués pour que vous alliez, que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure." Évangile de Jean 15,16

Le juniorat s’étend des premiers vœux jusqu’à la profession perpétuelle. Il a pour but de préparer plus directement les sœurs à remplir la mission confiée par l’Eglise à la Congrégation.

A la sortie du Noviciat, les sœurs sont envoyées en communauté où elles mènent la vie communautaire et apostolique.Temps de formation spirituelle et doctrinale, il permet aussi d’acquérir ou de compléter les compétences nécessaires pour les taches qu’elles auront à accomplir.

Régulièrement des personnes nous sollicitent pour faire une expérience à l’étranger…
La mission aujourd’hui est un défi ainsi que l’échange et la rencontre des peuples…
Partir en mission ou faire l’expérience de la mission répond à notre vocation de baptisés…

C’est pourquoi nous avons choisi d’aider et d’accompagner certaines d’entre elles à vivre une expérience à l’étranger.
Nous sommes heureuses de permettre à des personnes de s’ouvrir à l’esprit missionnaire et de leur permettre une expérience humaine et spirituelle.

Voici concrètement comment s’organise la proposition de manière générale.

La durée : elle est vue avec chaque jeune ou adulte

Le choix du lieu : On essaye de prendre en compte le souhait des personnes, les possibilités de la congrégation et la réalité politique des pays.

Pour partir, il est impératif de se préparer.

Cela est un gage de « réussite » et de bon équilibre sur place.

Un temps de formation avant départ :
  Écriture d’une lettre de motivation
  Découvertes des fondements de la mission
  Connaissance d’Anne-Marie Javouhey et des sœurs de Cluny
  Si possible, échange avec des jeunes ou adultes ayant déjà vécu une expérience
  Gestion des aspects pratiques

Que fait-on sur place :

Cela est vue avant de partir. On prend en compte les savoirs faire des personnes, les besoins sur place, les souhaits de découvertes de chacun et on essaye de concocter un programme qui satisfasse tout le monde.

Les conditions de vie sur place :
Généralement les personnes sont accueillies dans nos communautés et partage l’ensemble du quotidien des sœurs. Dans la mesure où les destinations sont souvent dans des pays en voie de développement et où les communautés vivent très simplement, nous demandons à chacun une participation forfaitaire journalière (raisonnable)

Au retour :

Un temps de relecture est important pour prendre la mesure de ce que l’on a vécu et voir ce qui a bougé en soi. Par ailleurs, une invitation est faite aux personnes qui sont parties de partager leur expérience.

Aujourd’hui ou en sommes-nous ?

 Une soixantaine de personnes est partie
 Parmi les personnes touchées directement ou indirectement, plusieurs parrainages et/ou aides financières ont été apportés à nos communautés de mission.
 Certaines personnes se sont engagées dans des associations « humanitaires »
 Sur certains projets il existe une pérennité
 Un lien plus fort s’établit avec certaines communautés de mission
 Certaines communautés de mission reconnaissent le bien-fondé d’une telle formation
 Après les départs, l’accompagnement des jeunes et certains liens demeurent

Un juniorat à Thiais le temps d’ un week-end

Les 11 et 12 février, nous avons eu la joie d’accueillir 7 junioristes dans notre communauté de Thiais.
Originaires de Madagascar, république du Congo et de l’Inde, nos jeunes se sont retrouvées avec sr Claire, responsable du juniorat, pour approfondir leur vie religieuse.

Pour commencer, aidées par un questionnaire, elles ont pris un temps de réflexion personnel, suivi d’un partage en petit groupe sur le thème de "l’unité de vie".

La détente n’était pas oubliée :
 un repas avec la communauté,
 une promenade dans le "parc Cluny" jouxtant la maison,
 un repas autour d’une pizza, ...

Le week-end s’est clos avec la messe familiale à la paroisse où 5 jeunes annonçaient à l’assemblée leur désir d’être baptisés et un partage en grand groupe de leurs expériences de vie religieuse.

L’une d’elle nous disait "ce qui est formidable c’est de prendre conscience de la diversité de nos missions et de nos expériences de vie. Parmi nous, il y avait des sœurs qui venaient de prononcer leurs engagements temporaires depuis quelques mois d’autres depuis plus longtemps (6 ans). . Sr Claire, notre responsable, a aussi donné son témoignage. Ce week-end a vraiment été très enrichissant".

Samedi 30 avril, …Participation des junioristes au festival "vocations"

Après un temps de partage sur la Bible, les sœurs junioristes de l’Ile de France et leur responsable, ont pu participer au Festival des jeunes pour les vocations.

Etre serviteur inutile

L’accueil à l’église Saint Ignace à Paris a réuni des jeunes en recherche, et des adultes engagés dans la vie religieuse, la prêtrise, le célibat consacré…
Le Père Adrien CANDIAR, dominicain venu tout spécialement du Caire, a interpelé chacun sur l’attente : «  être serviteur inutile », pouvoir répondre à un appel librement, selon le désir qui habite notre cœur, et non selon un devoir à accomplir…

Prière et départ à travers Paris sur 8 routes différentes pour rejoindre Montmartre.

Être missionnaire pour aujourd’hui

Les trois plus jeunes ont marché sur la route "Etre missionnaire pour aujourd’hui" avec Saint Ignace et de Saint François Xavier, en passant par la place de la République et la crypte du martyr de Saint Denis. C’est dans cette crypte située en contre-bas de Montmartre, que le fondateur des jésuites et ses compagnons ont fait leur premier engagement.
Temps de prière, de réflexion sur la vocation et la mission.

Les deux plus anciennes ont partagé la route "Notre Dame de la Paix", route qui a fait une halte à la cathédrale Ukrainienne de Paris. Le Père qui a accueilli le groupe des aînés, a partagé son soutien aux Ukrainiens expliquant qu’il est important d’accepter les évènements, même si nous ne les comprenons pas forcement, mais de les vivre dans la foi avec l’Espérance de la Résurrection.
Puis après un chapelet médité dans les rues de la capitale et un partage de convictions, le groupe a retrouvé tous les jeunes à Montmartre.
Les vêpres chantées à la Basilique, suivies du repas ont apporté beaucoup de paix et de ferveur.

Laissant les festivaliers continuer par un concert, des témoignages et une nuit d’adoration, chacune a rejoint sa communauté.

Du 16 au 19 mai dernier s’est tenue le rencontre des junioristes malgaches en mission à Cluny, Sœur Berthine et Sœur Yvette, autour de Sœur Claire. En voici quelques échos !

Le 1er jour nous avons travaillé sur le pardon dans la vie Communautaire.

« Il faut raccommoder et harmoniser nos relation car nous sommes humaines. »
Le pardon nous rend libre, nous redonne la paix et la joie perdues par nos désaccords quotidiens avec Dieu, les autres et nous-mêmes.

Le 2ème jour : nous avons travaillé à partir de la bible « Dieu fait alliance avec son peuple Israël et avec nous ! » « Dieu est présent ! »

Dieu ne nous juge pas, Il est là et Il peut nous rejoindre même si nous lui tournons le dos ; Il nous fait toujours confiance et nous envoie comme disciples missionnaires de dénoncer le mal, annoncer la Bonne Nouvelle.

Nous sommes à la suite d’Anne Marie Javouhey, libératrice d’esclaves . Le 10 Avril 1838, elle écrivait au « ministre de la marine et des colonies », l’Amiral Duperré : « Fils du Père commun ils sont hommes comme nous. »
Anne Marie Javouhey à toujours eu le souci d’éduquer, de faire grandir, d’évangéliser.

Sœur Yvette et Sœur Berthine

Du vendredi 8 en fin de soirée au lundi 11 février, les trois sœurs Agnès-Marie, Berthine et Yvette, junioristes dans la Province France-Suisse-St Pierre et Miquelon, se sont retrouvées à Ciry-le-Noble avec sœur Claire, pour une rencontre sur le thème de la vie communautaire.

Temps de partage, d’enrichissement, de prière et de fraternité…

Quelques pauses découvertes, détente ou spirituelle, ont rythmé les temps de travail à la maison : ballade au lac Saint Amédée de Sanvignes, Eucharistie dominicale à l’église de Perrecy-les-Forges.
Le lundi matin, un pèlerinage dans les rues de Chalon-sur-Saône leur a permis de marcher sur les traces d’Anne-Marie Javouhey.

Programme pour le retour ; vivre en communauté ce qui a été découvert…

Sr Claire Petit