« Nous avons acquis beaucoup d’expérience en peu de temps ; la ruse n’a jamais fait de bien...la vérité, la droiture triomphent toujours du mensonge. Cherchons Dieu de tout notre coeur dans la paix et la simplicité, soyez sûres qu’il ne nous abandonnera jamais.
Adieu, mes très chères filles, constance, patience, le contentement viendra ensuite.
L. 103, 5-6, 26 juin 1825 à Mère Rosalie Javouhey, à Bourbon
« Supportez les défauts des faibles, tâchez de les corriger ; ayez de la patience, nous en avons grand besoin... »
L. 308, 1 de Paris, 30.10.1834 à Soeur Théophile Montet à Rouen
« Nos chères filles de Paris n’ont plus le Saint Sacrement dans leur chapelle. Hélas ! c’est une triste vengeance ! Punir des innocentes pour satisfaire un amour-propre offensé ! Je ne me tracasserai pas pour cela ; je mets ma confiance en Dieu, en demandant la patience pour moi et les miens ».
L.364, 1 de Cayenne 15.03.1836 à Soeur Théophile Montet à Rouen
« Supportez tout ce qu’il plaira à nos ennemis de nous infliger ; la patience, la résignation les confondent plus que nos plaintes. Si vous saviez comme moi combien ils sont embarrassés de leurs succès ! »
L. 606, 1 de Paris, 10.09.1845 à Mère Rosalie Javouhey à Cluny
« Demeurez douce et patiente vis-à-vis de ceux qui vous persécutent ; ne voyez dans tout cela que la main de Dieu qui vous éprouve pour votre plus grand bien ».
L.903, de Paris 27.03.1849 à Soeur Hippolyte Tainturier, à Brie Comte Robert
« Comment vont les maisons voisines ? Prêchez la patience. Il nous en faut à toutes une bonne provision ».
L. 964,1 de Paris 24.01.1850 à Soeur Théophile Montet à Rouen
« Vous savez que Cayenne est mes amours, surtout ma bonne soeur Madeleine que je voudrais savoir toujours heureuse et contente. Et puis je la voudrais indulgente pour les faibles, patiente pour les mauvais caractères, le bon Dieu serait plus content. Si vous preniez les choses simplement, patience, patience, et puis encore patience... »
L. 984,1 de Paris, 28.02.1850 `Soeur Madeleine Collonges à Cayenne
« Priez pour m’obtenir la patience, j’en ai grand besoin ».
L. 1046,3 de Paris 05.09.1850 à Mère Rosalie Javouhey à Cluny