Déjà le 7 février 1810, Anne Marie écrit à ses parents : « Je vous en prie, ne murmurez pas, ne blâmez pas mes actions, Dieu en est le principe et la fin. Si les hommes sont contre moi, peu importe, pourvu que Dieu soit pour moi et que je fasse sa Volonté sainte ».
À la suite de St Paul, la foi sera le bâton sur lequel elle s’appuiera toute sa vie, malgré les difficultés en tous genres, la solitude. Cette foi la pousse à être apôtre : « Quand vous ne convertiriez qu’une seule âme, c’est plus précieux que toutes les richesses de la terre ».
Annales historiques ch XLI p. 665