« Le bon Dieu donne ses lumières goutte à goutte, mais il faut les recevoir avec reconnaissance et les appliquer ».
L. 97, 4 avril 1825 à Mère Rosalie Javouhey, à Bourbon
« Il faut que Dieu fasse connaître sa sainte Volonté, autrement je ne sais que dire ; je sens tout le bien que ferait pareille société, mais les hommes sont si drôles qu’à la moindre difficulté ils se découragent ; mais une fois que le bon Dieu aura parlé, il n’y aura plus rien à dire. Priez et faites prier afin que tout tourne à sa gloire et au salut des âmes ».
L. 344, 6 Paris 09.08.1835 à Mère Marie Thérèse Javouhey, à la Martinique
« Je suis encombrée d’ouvrage pour les départs ; et puis nos saints évêques ne peuvent s’entendre, cela me donne du répit et puis j’observe pour connaître et profiter des circonstances qui se trouvent favorables à l’oeuvre de Dieu. Je marche toujours en avant ; ce qui sera fait fera du bien et rendra notre cause meilleure ».
L. 573, 2 Paris 26.08.1844 à Mère Clotilde Javouhey, à Limoux
« J’ai reçu des lettres d’Alençon ; je n’ai pas répondu, je leur donne le temps de réfléchir. J’ai demandé à Dieu ses lumières pour le choix à faire. Rien ne presse ; priez pour moi ».
L. 1068, 3 Paris 23.11.1850 à Mère Marie Joseph Javouhey, à Compiègne