Pourquoi la JOIE ?
Parce que notre monde est tellement rempli de catastrophes, de ténèbres, d’atrocités. La JOIE manque souvent à nos contemporains.
Essayons de répondre à notre vocation telle que le Pape François la décrit : là où il y a les religieux, il y a la JOIE.
Parce que l’Eglise, à travers ce temps de préparation à Pâques, nous propose un chemin de renouvellement, de croissance, sur lequel nous nous entraînons à mieux répondre à Celui que nous avons choisi de suivre.
Nous avons à mener le bon combat, celui de la Lumière, celui qui lutte contre les forces du mal, de la nuit.
Ce combat n’est pas pour l’emporter sur notre prochain, l’écraser, le dominer, il est à mener contre les œuvres de ténèbres comme le dit Saint Paul dans la lettre aux Romains (13,12b) : « Rejetons les œuvres des ténèbres, revêtons-nous des armes de la lumière. »
Pourquoi l’ESPERANCE ?
Parce que « …le découragement est l’arme suprême de Satan : au bout de l’accablement se trouve la désespérance, ce « péché contre l’Esprit » (Mc 3,28-29) qui n’accepte plus de se laisser sauver par le Rédempteur » (cf. Livre du Père Joël GUIBERT, le combat spirituel, clé de la paix intérieure, Ed. ARTEGE, page 73).
Parce que le Pape François dans son Message pour le Carême 2025 nous invite à marcher ensemble dans l’espérance.
Pourquoi l’AMOUR ?
Parce que comme Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus : « Je compris que l’AMOUR RENFERMAIT TOUTES LES VOCATIONS, QUE L’AMOUR ETAIT TOUT, QU’IL EMBRASSAIT TOUS LES TEMPS ET TOUS LES LIEUX… EN UN MOT, QU’IL EST ETERNEL !… Alors, dans l’excès de ma joie délirante, je me suis écriée : Ô Jésus, mon Amour… ma vocation, enfin je l’ai trouvée, MA VOCATION, C’EST L’AMOUR !… Oui j’ai trouvé ma place dans l’Église et cette place, ô mon Dieu, c’est vous qui me l’avez donnée… dans le Cœur de l’Église, ma Mère, je serai l’AMOUR… ».
Parce que nous sommes appelés à ne plus avoir notre vie centrée sur nous-mêmes mais sur Lui qui est mort et ressuscité pour nous (cf. 2 Co 5,15).
Osons rejoindre le Christ jusque dans sa passion. Apprenons de Lui à aimer jusqu’à l’extrême sans craindre de nous laisser dépouiller.
Alors Joyeux Carême à tous et à chacun !
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