Quarante jours pour redécouvrir les "petits printemps de nos existences", pour renouveler notre vie intérieure, nous laisser rejoindre et mieux vivre la communion avec Dieu et avec les autres.
Il y a en chacun, chacune, la soif de l’infini
Nous sommes créés avec ce désir d’absolu. Laissons nous vivre en nous cette aspiration ? Parfois, nous marchons de nuit... ou comme à travers un désert, ce n’est pas pour suivre un idéal, nous suivons une personne, le Christ ; nous ne sommes pas seuls, lui nous précède.
Le suivre suppose un combat intérieur avec des décisions à prendre, des fidélités de toute une vie. Dans ce combat, nous ne nous appuyons pas sur nos propres forces, mais nous nous abandonnons à sa présence.
Le sentier n’est pas tracé d’avance...
L’avenir n’est pas écrit d’avance. Il implique d’accueillir des surprises, de créer avec l’inattendu. Et Dieu ne se fatigue pas de reprendre le chemin avec nous... nous pouvons croire qu’une communion avec lui est possible et ne jamais nous fatiguer, nous non plus, d’avoir toujours à reprendre le combat. Nous acceptons d’avancer comme des pauvres de l’Evangile, qui se confient en la miséricorde de Dieu.
Pendant ce carême, osons réviser notre style de vie.
Ce temps fort nous incite au partage. Quels signes de partage accomplissons-nous en vue d’une solidarité avec les plus démunis ?
Laissons résonner en nos cœurs le message de carême du pape François qui nous propose un chemin de conversion.
En ce mois de Saint Joseph, homme de foi, qui a mis toute sa confiance en Dieu, avançons avec au cœur une grande espérance, sûrs de celui qui nous conduit à la lumière de Pâques.