« Oui, ma chère fille, je vous répéterai sans cesse ce que je sens si vivement : que nous sommes heureuses d’avoir une si belle mission...faire l’œuvre de Dieu, oh ! tâchons de la bien faire !
L. 122, 6 Toulon entre le 1 et le 7 mai 1826 à Mère Rosalie Javouhey, à Bourbon
« J’ai la douce confiance que ma chère mère de la Martinique est en France, que déjà vous avez eu le bonheur de la voir, oh ! que je voudrais en avoir l’assurance ! Je serais tranquille, vous ne penseriez pas si souvent à mon retour qui ne dépend pas de ma volonté, mais de ma position ; je ne peux abandonner l’œuvre de Dieu sans la certitude qu’il sera content. Vous partagez mon opinion, n’est-ce pas ».
L. 406, 3 Cayenne 18.08.1839 à Mère Marie Thérèse Griffaut, Maîtresse des novices à Cluny
« Quelle grâce le Bon Dieu nous accorde en dévoilant les menées qui devaient perdre la congrégation ! Nos ennemis nous auront fait du bien en consolidant l’œuvre de Dieu. Tout n’est pas fini... Dieu seul a le secret de ses œuvres ; nous ne sommes que de pauvres instruments qu’il emploie ».
L.612, 1 Paris 20.09.1845 à Sœur Séraphine Roussot ayant accompagné les novices à Fontainebleau
« Si Dieu est pour nous qui sera contre nous ? Songez que nous faisons l’œuvre de Dieu, nos ennemis ne peuvent rien ».
L. 1020, 2 Paris mi-mars 1851 à Mère Rosalie Javouhey, à Cluny